Théa de Mazarine Pingeot
Lire Mazarine Pingeot après Stefan Zweig , c’était placer la barre très haut dans le paysage littéraire. Théa m'a fait rester au rez-de-chaussée du gratte-ciel et d’emblée, son histoire ne m’a pas accrochée. Mme Mitterand-Pingeot écrit comme elle parle, la narratrice décrit tout ce qu’elle fait et après les pensées, l’élégance et la méticulosité de S. Zweig, je n’ai pas pu continuer la lecture d’un roman bavard.
Le résumé :
« Josèphe rencontre Antoine lors d'une soirée à Paris dans les années 1980. Antoine est Argentin et il fuit la dictature de son pays. Le coup de foudre passé, il disparaît. Josèphe ne pense qu'à le revoir et commence à enquêter sur cet homme. C'est alors qu'elle se retrouve renvoyée, sans s'y attendre, à sa propre histoire familiale. »