Nymphéas noirs de Michel Bussi
Giverny : oui – Michel Bussi : non
Premier roman que je lis de cet auteur… et le dernier.
J’ai pourtant choisi Nymphéas noirs, le polar le plus primé en France en 2011, avec 5 prix, et il est vrai que le lieu de l’enquête policière, Giverny, où Jérôme Morval est retrouvé mort, est un enchantement car l’aura de Claude Monet y plane encore.
Premiers mauvais signes : je fais de nombreuses pauses, allant même jusqu’à commencer un autre roman en même temps.
A chaque reprise l’intrigue piétine, Michel Bussi se regarde écrire et malgré ses nombreuses allusions, genre « vous allez voir, le dénouement est énorme », je m’ennuie.
La fin, déclarée géniale par la critique, m’a parue enfantine et l’imagination boursouflée de l’auteur le fait déraper avec des invraisemblances criantes.
Retour à l’envoyeur et je poursuis le second roman Les abeilles grises, très prometteur.