Les grands cerfs de Claudie Hunzinger

L’approche des cerfs : une science et une passion.

« Pamina et son compagnon Nils vivent dans la montagne. Ils savent qu'un clan de cerfs rode dans les parages sans avoir jamais réussi à les apercevoir, jusqu'à ce que Léo, un photographe animalier, construise une cabane d'affût à proximité et propose à Pamina de guetter avec lui. Au cours de l'une de ces séances d'observation, ils découvrent qu'un massacre se prépare. »

Cela ne m’est jamais arrivé : suspendre ma lecture et lever le nez à chaque page pour ruminer la beauté de la langue. Mais comme j’étais impatiente de connaître la fin de l’histoire, au vu du comportement changeant du photographe, j’ai décidé de lire « Les grands cerfs » d’une seule coulée et de le relire coup sur coup une seconde fois, juste pour savourer à pleine bouche la poésie lumineuse de cet ouvrage d’alerte sur nos comportements d’humains dans les forêts.

"Un tonnerre de beauté".

Comments

[mjo]

S.Tesson dit que "l'on peut se mettre à l'affût à la fenêtre de sa chambre, à la terrasse d'un café, dans un parc sur un banc car l'affût est…. une présence au monde : quelque chose surgira qui nous surprendra…" C'est ce qu'a fait C. Hunzinger : tapie dans une cabane de son jardin, elle se met aux aguets des cerfs qui rôdent dans sa propriété depuis 10 ans, aussi silencieux que des hérissons.

[orfevre]

Un étrange conte de Noël. Bonnes fêtes à tous

Isabelle